La crise sanitaire chamboule nos vies.
Les pouvoirs publics tâtonnent, légifèrent dans tous les sens, parfois à contre-sens, en nous imposant la justification de toutes nos sorties.
Il est à craindre de s’habituer à voir nos libertés rognées. Il faut en prendre conscience.
La pauvreté déjà présente avant cette crise, ne fait que s’amplifier. On nous parle d’économie fragilisée, les petits commerces et leurs salariés sont en grande souffrance et précarité. Le chômage et les plans massifs de licenciement sont en plein ….. « essor » !
La misère n’a jamais été aussi criante ….. et …… silencieuse.
Toutes les associations caritatives alertent et décrient la courbe alarmante et croissante des personnes en grande difficulté de vie. Les SDF sont de plus en plus nombreux et laissés pour comptes, sur les trottoirs (300.000 recensés, l’équivalent de ville comme Nantes, Rennes, Montpellier, ou Bordeaux).
Les pouvoirs publics restent sourds à cette honteuse catastrophe humanitaire.
Il est temps de réveiller nos consciences.
Misère, Colère, je ne veux plus lire vos noms.
SOLIDARITE, j’écris ton nom.